Sur l'ensemble du site des Basses-Corbières, la fermeture des milieux, parallèlement au recul de l'activité pastorale, a entraîné une raréfaction du petit gibier (perdrix, lièvres et lapins) et une spécialisation de la chasse locale sur le grand gibier et plus particulièrement sur le sanglier. Le développement des friches agricoles et l'embroussaillement des milieux favorisent largement les populations de sanglier, aujourd'hui en constante augmentation au détriment de l'avifaune inféodée aux milieux ouverts.
Traditionnellement, pourtant, la pratique de la chasse sur le territoire de la ZPS était consacrée au petit gibier.